DES FORMES COURTES, DANSÉES, À PARTAGER…
Il s’agit de trois à cinq pièces courtes écrites pour l’extérieur, invitant à goûter l’instant, à retrouver la saveur du vivant, nous rappelant aujourd’hui où se trouve un de nos essentiels :
>> LE LIEN par l’énergie d’une danse « tribale » qui porte et transporte. (RUEE#1MAKE STOMP)
>> LE LIEN par l’intimité de deux corps qui se retrouvent enfin, dans une relation charnelle singulière. (RUEE#2ENCORE)
>> LE LIEN par l’espoir de deux hommes marchant inlassablement vers un point incertain de ralliement. (RUEE#3GUERRE)
>> LE LIEN par la rage de trois femmes défendant puissamment leur liberté. (RUEE#4SANG)
>> LE LIEN par l’évidence d’une danse simple, directe et sensible, pour celles et ceux qui comme nous, rêvent le monde d’après… (RUEE#5SEULE AVANT LA NUIT)
Conception et chorégraphie : Olivier NEVEJANS.
Interprètes : Luovic ATCHY-DALAMA, Lucien BRABEC, Claire CAUQUIL, Léa DARRAULT, Nelly HYVERT, Olivier NEVEJANS, Violette VINEL.
Musique : Yannick BERBIÉ.
Production, soutien et partenariat : Les Âmes Fauves, Gare Aux Artistes, le département de Haute Garonne, le Casino-Théâtre de Cauterets, le Frigo (Albi), la ville de Tournefeuille, la ville de Aussillon en partenariat avec l’ADDA et le département du Tarn.
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« Comme beaucoup, nous sommes impactés…. La fureur du monde touche, intimement et professionnellement au cœur de nos possibles créatifs. De ces situations ardues et empêchantes, nous tentons de faire fi et regardons au-delà, la ligne d’horizon plus dégagée.
Revenons à l’essentiel. Créons des petites formes dansées à la manière de Haïkus Japonais, très adaptables à l’espace public. Des formes ludiques ou plus engagées, à partager, des rendez-vous dans une ville, un parc, des lieux choisis ou des hasards de découvertes.
Sept danseurs et un musicien réunis.
Cinq pièces à danser en tout lieu, pour tout public.
Cinq gages pour rattraper le temps perdu, pour réparer par le sensible, le jeu, la puissance, la folie des corps.
Par la danse.
Ruons-nous ensemble vers ces territoires à reconquérir et retrouvons ce dont nous manquons tant : le mouvement, le vivant, l’altérité. »
Olivier NEVEJANS